Le programme Élite correspondra à 75 unités de formation continue de l’UdeM, ce qui équivaut à 750 heures de formation universitaire. Ainsi, les entrepreneurs qui font partie d’ordres professionnels, comme les ingénieurs, pourront faire valoir ce parcours dans leurs obligations de formation continue.
« Pour nous, c’est une première étape, dit M. Blanchette. On examine les autres programmes de l’EEB et on envisage ce partenariat comme étant à deux sens. On offre une reconnaissance, et de leur côté, ils nous donnent la possibilité d’amener une part de leur méthodologie chez nous. »
« Nos entrepreneurs-athlètes sont vraiment fiers, remarque Mme Parent. Beaucoup n’ont pas fait de grandes études et ont appris hors des cadres habituels ; ce pourquoi on a créé l’EEB, dont la qualité de l’apprentissage est de plus reconnue par le milieu universitaire, c’est comme un rêve pour eux. »
Les Affaires a tenté de joindre la direction de l’Institut d’entrepreneuriat Banque Nationale – HEC Montréal pour obtenir son point de vue sur ce partenariat, mais en vain.