Entrepreneuriat féminin: les Québécoises sont moins nombreuses à y croire

Publié le 08/03/2013 à 07:40, mis à jour le 13/03/2013 à 15:39

Entrepreneuriat féminin: les Québécoises sont moins nombreuses à y croire

Publié le 08/03/2013 à 07:40, mis à jour le 13/03/2013 à 15:39

Par Stéphane Rolland

Photo:Bloomberg

Les Québécoises sont à peu près aussi nombreuses que les Canadiennes à souhaiter lancer leur entreprise, si elles le pouvaient. Elles sont cependant beaucoup moins à prévoir faire le saut à moyen terme, selon un sondage effectué pour le compte de BMO.

Les Québécoises sont 52% à admettre qu’elles aimeraient démarrer leur entreprise, si l’occasion se présentait, comparativement à 59% des Canadiennes.

L’écart se creuse quand on demande aux répondantes si elles songent à le faire d’ici 10 ans. À cela 21% des Québécoises répondent oui, contre 36% des Canadiennes.

Les Québécoises ressemblent ainsi à leur père, frères, collègues et amis qui envisagent, eux aussi, moins l’entrepreneuriat que les Canadiens.

Dans un autre sondage récent de BMO, on observait que les Québécois (25%) étaient moins nombreux que les Canadiens (39%) à envisager de devenir entrepreneurs une fois à la retraite.

Excluant, les travailleurs autonomes, le taux d’entrepreneuriat, soit le pourcentage d’entrepreneurs québécois dans la population en général, étaient de 2,9% en 2008, selon Statistique Canada. Au Canada, ce taux avoisine les 3,3%.

 

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