Le porte-parole de l'Association des restaurateurs du Québec, François Meunier, a qualifié de "premier pas" et de "geste d'ouverture" l'annonce du gouvernement, mais il continue de réclamer que la hausse de la taxe ne soit pas imposée de façon rétroactive. Il entend poursuivre ses pressions sur Québec.
Nicolas Marceau a soutenu vendredi que "l'absence de prise d'inventaire sur les produits en stock pourrait avoir pour effet que les consommateurs paient des taxes qui ne seraient jamais versées au gouvernement".
Le ministre a ajouté que les commerçants ne sont pas tenus de modifier immédiatement leurs listes de prix ou leurs menus pour refléter la hausse de la taxe. Ils n'ont qu'à mentionner à leurs clients que le montant de la hausse sera ajouté aux prix, que ce soit au moyen d'affiches à l'entrée de leur établissement, sur la caisse enregistreuse ou encore d'encarts dans les menus, et ce, jusqu'à ce que les listes de prix ou les menus soient mis à jour.