La confession de M. Mulroney aurait notamment pu prendre la forme d'une lettre au lecteur, dans laquelle il aurait admis avoir reçu de l'argent comptant de M. Schreiber. L'ancien premier ministre conservateur n'a cependant jamais donné le feu vert à un tel procédé.
C'est le quotidien torontois The Globe and Mail qui a révélé l'histoire dans un article paru 2003. L'auteur du texte, William Kaplan, a affirmé devant la commission que M. Mulroney avait tenté à plusieurs reprises de le dissuader de publier le texte qui le faisait mal paraître.
Luc Lavoie a profité de son passage devant le juge Jeffrey Oliphant pour attaquer la crédibilité des journalistes de l'émission "Fifth Estate" de la CBC, qui ont enquêté sur le scandale Airbus et sur les liens entre M. Mulroney et M. Schreiber.
M. Lavoie n'a pas non plus été tendre envers l'homme d'affaires allemand qu'il a qualifié d'"être diabolique", entre autres épithètes.