7-La maison d'édition Penguin Random House Canada n’y va plus avec le dos de la cuillère: désormais, un bon livre est un ouvrage qui générera 100000$ de revenus, relate Actualitté. «Je ne suis pas intéressé par un livre qui va générer moins de 100000 $ de recettes, à moins que l’éditeur ait une vision convaincante pour le livre et/ou l’auteur», a dit le pdg de Random House, Brad Martin. «Si la personne qui défend le livre dans le cadre de la réunion des acquisitions n’a pas un point de vue convaincant sur ce titre, et qu’il essaie juste de meubler, alors je ne m’y intéresserais pas.» La déclaration, intervenue ce 26 juin, n’a pas manqué de faire sourire les internautes canadiens, qui depuis s’en donnent à cœur joie. On balance entre colère et joie en découvrant qu’un éditeur est en mesure d’avoir ce type de revendications– tout en se demandant quel type d’ouvrage est réellement en mesure de peser aussi lourdement dans un catalogue. PRH est le plus important groupe littéraire au monde.
8-10 milliards de dollars américains. C’est la valeur du patrimoine du magnat de l'immobilier Donald Trump, candidat à la Maison Blanche. C’est ce qu’il a déclaré mercredi, plus du double de l'estimation de référence établie par Forbes. Le milliardaire a annoncé qu'il avait gagné, hors revenus du capital, loyers et royautés, la somme de 362 millions de dollars en 2014, et que la vente d'actions lui avait rapporté 27 millions. Il a aussi révélé que la grande chaîne NBC, avec qui il s'est récemment fâché et sur laquelle il animait l'émission à succès The Apprentice, l'avait rémunéré près de 214 M$US pour 14 saisons. NBC a rompu son contrat avec Donald Trump après que le candidat a fait un amalgame entre clandestins et délinquants mexicains. Donald Trump, très connu aux États-Unis pour ses hôtels, immeubles de luxe, parcours de golf et sa marque de vêtements, a fait de son succès en affaires son principal argument électoral, rapporte BFM TV.
9-Le candidat à l’investiture républicaine Jeb Bush fait un sacré coup de pub pour le service de transport entre particuliers Uber. L’ex-gouverneur de la Floride utilise les services de la controversée start-up californienne pour assurer ses déplacements durant sa campagne électorale. Il a publié hier un premier rapport de dépenses de sa campagne qui montre qu’il a fait appel à Uber à 70 occasions, ce qui porte la facture totale de ses déplacements à 1400$US, selon Business Insider. En utilisant les services de Uber, M. Bush veut sans doute se distancer de Hillary Clinton, qui a remis en question les services comme Uber et AirBNB sans les nommer, affirmant qu’ils offraient des occasions de revenus intéressantes pour les Américains, mais qu’ils mettaient en péril les emplois encadrés par les normes du travail.
10-Dans les transports, personne n’échappe à «l’Ubérisation». Créée à l’automne dernier, la start-up française GoGoRunRun teste un service qui permet à des particuliers de se transformer ponctuellement en coursiers. Grâce à une application mobile, le client potentiel géolocalise sur son téléphone les coursiers amateurs disponibles autour de lui et peut commander rapidement la livraison de courriers ou d’un objet. Tout un chacun a la possibilité d’utiliser ses déplacements en ville, quel que soit son mode de locomotion (à pied, en métro, en voiture …), pour gagner un peu d’argent, écrit Les Echos. Le nouveau service, lancé officiellement à Paris et en région parisienne en septembre prochain avec une centaine de coursiers potentiels, devrait faire des vagues dans le milieu des entreprises de livraison. La jeune entreprise veut commencer à commercialiser le service à l’étranger à partir du début 2016. Parions qu'un tel service sera bientôt lancé au Québec.
Sources: Les Affaires, Communiqués, Clubic, Bloomberg, PC, AFP, Wall Street Journal,BFMTV, Le Devoir, Business Insider, Les Echos.
