[Photo : Ministère du tourisme du Québec]
Le Groupe TMX, qui exploite la Bourse de Toronto, ainsi que la Bourse de Londres, ont annoncé leur fusion mercredi en vue de créer un des plus grands marchés boursiers au monde.
Qu'en est-il exactement? Pourquoi une telle fusion? Et surtout, qu'en est-il de l'intérêt du Québec et du secteur des produits dérivés dont la Bourse de Montréal tente depuis des années de se faire la spécialiste? En somme, le Québec en sortira-t-il gagnant ou perdant?
Lisez notre dossier complet :
Le Groupe TMX et la Bourse de Londres vont fusionner
François Pouliot: fusion Toronto-Londres, Québec doit bien jouer ses cartes
Montréal : chef des produits dérivés dans la fusion des bourses de Toronto et Londres
Fusion Londres-Toronto : les deux sociétés devront convaincre les investisseurs
Londres contrôlera le conseil d'administration
Ce qui restera à Montréal: le diable est dans les détails
Québec demande une audience publique
L'AMF a le pouvoir de bloquer la fusion des bourses, prévient Bachand
Le MÉDAC s'opposera à l'achat de la Bourse de Toronto par celle de Londres
LSEG et TMX devront obtenir l’autorisation d’au moins sept autorités réglementaires
Le pdg du TMX est confiant d'obtenir le feu vert pour sa fusion avec le LSE
Groupe TMX : un retour aux profits malgré une baisse des revenus
