Les ventes de propriétés dans le Grand Montréal reculent de 14 % d'avril à mai

Publié le 02/06/2021 à 17:06

Les ventes de propriétés dans le Grand Montréal reculent de 14 % d'avril à mai

Publié le 02/06/2021 à 17:06

Par La Presse Canadienne

(Photo: 123RF)

Les ventes de propriétés dans le Grand Montréal ont diminué de près de 14 % d’avril à mai, alors que la province commençait à assouplir ses mesures sanitaires contre la pandémie. 

L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) a indiqué mercredi que le nombre de transactions immobilières s’était établi à 5398 en mai, en baisse par rapport aux 6237 transactions enregistrées en avril, mais en hausse comparativement aux 3267 ventes de mai 2020. 

Selon l’APCIQ, le changement d’une année à l’autre est particulièrement frappant parce que les données de mai 2020 ont été fortement touchées par la première vague de la pandémie de COVID-19, qui a ralenti les transactions avec ses confinements. 

Le nombre de nouvelles inscriptions à la vente a atteint 6508 en mai, une baisse par rapport aux 7183 nouvelles inscriptions d’avril, mais un gain par rapport aux 4786 nouvelles inscriptions de mai 2020. 

Les inscriptions actives se sont dénombrées à 11 481 en mai, alors qu’elles étaient 11 599 en avril et 13 521 en mai l’an dernier. 

Le prix médian des maisons unifamiliales a atteint 496 000 $ en mai et celui des copropriétés a grimpé à 365 000 $, des sommes qui se comparent respectivement à 370 000 $ et 280 000 $ pour le même mois l’an dernier. 

 

À la une

Le repreneuriat dépasse la création d'entreprise

Il y a 13 minutes | Emmanuel Martinez

Pour la première fois, le repreneuriat a dépassé la création d’entreprise au Québec en 2021.

Repreneuriat: des employés au rendez-vous

01/05/2024 | Emmanuel Martinez

REPRENEURIAT. Le taux de survie des coopératives est bien meilleur que celui des entreprises privées.

Les dépenses incompressibles génèrent de l’anxiété financière

Il y a 28 minutes | Charles Poulin

IL ÉTAIT UNE FOIS... VOS FINANCES. Près de la moitié des Québécois vivent de l’anxiété importante face à leur finances.