Ces groupes ont fait cette sortie publique, jeudi, à l'approche du procès de Leblanc et à la veille de la journée internationale de la liberté de presse, qui se tient le 3 mai.
Le gouvernement fédéral tente de récupérer auprès de Groupe Polygone, propriété de Luc Lemay, une partie des sommes consenties dans le cadre du programme des commandites, quelque 35 millions $. De son côté, Polygone veut démontrer que le gouvernement était au courant que des irrégularités étaient commises bien avant d'intenter des procédures à l'égard des publicitaires impliqués dans le scandale des commandites.
L'avocat de Polygone compte sur le témoignage de Daniel Leblanc et le dévoilement de la source du journaliste pour démontrer que la procédure est non valide, parce que prise trois ans après la connaissance des faits.