Vendez en mai et partez, version 2019


Édition du 11 Mai 2019

Vendez en mai et partez, version 2019


Édition du 11 Mai 2019

Par Stéphane Rolland

Après l'envolée boursière des quatre premiers mois de l'année, l'adage populaire «vendez en mai et partez» a une plus grande résonnance auprès des investisseurs sceptiques, constate Brian Belski, stratège chez BMO Marchés des capitaux. L'expert invite toutefois ces derniers à ne pas succomber aux sirènes du synchronisme de marché, un jeu impossible à gagner avec constance. Même si la période comprise entre le début mai et la fin octobre affiche historiquement des rendements moins élevés pour le S&P 500, ceux-ci ont tout de même été positifs les deux tiers du temps depuis 1950, signale-t-il. Pour cette raison, rester investi à long terme demeure donc la stratégie qui a été la plus payante dans le passé. Et, si le passé est garant de l'avenir, la période entre mai et octobre a tendance à être meilleure lorsque les quatre premiers mois de l'année ont été positifs, ce qui est le cas cette année, souligne M. Belski.

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