Sept raisons d'acheter le TSX


Édition du 06 Mai 2017

Sept raisons d'acheter le TSX


Édition du 06 Mai 2017

Par Stéphane Rolland

Un an après avoir entamé le suivi du S&P/TSX, Matthew Barasch, de RBC Marchés des capitaux, croit que les investisseurs devraient augmenter leur pondération en actions canadiennes pour sept motifs. 1. Oui, l'économie canadienne doit composer avec un secteur énergétique ébranlé, un immobilier qui s'emballe et des consommateurs endettés, admet-il. « Trouvez-moi un pays qui n'a pas de problèmes et on sera acheteur », répond-il. Il souligne que l'économie s'améliore au Canada : la croissance est « pas mal bonne » et les prix de l'énergie ont repris du tonus. 2. Pendant ce temps, le multiple du S&P/TSX s'échange 1,5 point sous celui du S&P 500. Le bas de la fourchette des deux décennies précédentes. 3. Le bénéfice par action devrait progresser de 20 % en 2017. 4. Le stratège estime que les banques, qui représentent le quart de l'indice, méritent une meilleure évaluation. 5. L'économie chinoise se raffermit. En raison de son exposition aux ressources, le TSX a historiquement bien performé quand la Chine allait bien. 6. Dans le même ordre d'idée, l'amélioration de l'économie mondiale est favorable au Canada. 7. Le rendement du dividende du S&P/TSX est 80 points de base plus élevé que celui du S&P 500, malgré la pression du secteur énergétique. Si le pétrole se stabilise - ou, même mieux, monte - l'élan sur les dividendes serait « significatif ».

À la une

La condo-crise de logement abordable

Mis à jour il y a 39 minutes | Gabriel Marcu

EXPERT INVITÉ. La vie dans les condos n'est pas la panacée à tous nos problèmes de logement et d'étalement urbain!

Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture lundi 29 avril

Mis à jour il y a 43 minutes | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les marchés boursiers sont orientés en hausse.

Le Canada perd de son lustre aux yeux des travailleurs internationaux

Mis à jour à 07:52 | Catherine Charron

RHÉVEIL-MATIN. La baisse de clics n’est pas anodine selon l'économiste principal d'Indeed, Brendon Bernard.