Gestion active : même Dieu vivrait de mauvaises passes


Édition du 16 Septembre 2017

Gestion active : même Dieu vivrait de mauvaises passes


Édition du 16 Septembre 2017

Par Stéphane Rolland

La proposition est à la limite du sacrilège, mais elle est riche d'enseignement. S'il gérait un portefeuille à long terme, Dieu lui-même connaîtrait de douloureux revers, selon une recherche de Wes Gray, d'Alpha Architect. Pour en faire la démonstration, la firme a fait le suivi rétroactif d'un portefeuille réaménagé tous les cinq ans depuis le 1er janvier 1927. Au début de chaque quinquennat, le Tout-Puissant choisirait le premier décile des titres du S&P 500 qui obtiendront le meilleur rendement au cours des cinq prochaines années, un exploit à la portée d'une entité omnisciente. Évidemment, le rendement annuel composé moyen de 29 % sur une période de 90 ans est... divin. Malgré ses pouvoirs, le Créateur n'échapperait cependant pas à l'enfer des marchés baissiers. Il (ou elle) aurait connu des reculs de plus de 20 % à 10 reprises.

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