Attentat au Métropolis: Pauline Marois croit que le tireur voulait l'assassiner

Publié le 03/12/2012 à 07:15, mis à jour le 03/12/2012 à 07:18

Attentat au Métropolis: Pauline Marois croit que le tireur voulait l'assassiner

Publié le 03/12/2012 à 07:15, mis à jour le 03/12/2012 à 07:18

Par La Presse Canadienne

La première ministre du Québec, Pauline Marois, croit que l'homme qui a ouvert le feu au Métropolis le soir de son élection voulait la tuer.

La chef péquiste a fait cette déclaration dans le cadre de l'émission «Tout le monde en parle» diffusée à Radio-Canada dimanche soir.

Mme Marois a confié, durant son entretien avec l'animateur Guy A. Lepage, qu'elle n'avait pas immédiatement compris ce qui s'était passé lors de l'incident survenu le 4 septembre dernier.

Elle a affirmé que c'était seulement après être rentrée chez elle à la fin de la soirée et avoir discuté des événements avec sa famille qu'elle avait réalisé que l'objectif du tireur avait peut-être été de l'assassiner.

Pauline Marois a indiqué qu'elle considérait que le motif du suspect était en partie politique.

À ce sujet, elle a fait référence à la vidéo de l'arrestation du présumé tireur, Richard Henry Bain, diffusée à la télévision dans laquelle on l'entend crier «les Anglais se réveillent».

Bain est accusé d'avoir tiré sur deux personnes et d'avoir tué le technicien Denis Blanchette.

Les coups de feu ont eu lieu derrière la scène du Métropolis où la nouvelle première ministre prononçait son discours de victoire devant les troupes péquistes. Un feu a également été allumé à l'arrière de la salle de spectacles.

À la une

Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture lundi 13 mai

Mis à jour il y a 45 minutes | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. Les Bourses en eaux calmes pour le début de semaine.

Le chemin de croix de Norda Stelo

Mis à jour il y a 29 minutes | Catherine Charron

RHÉVEIL-MATIN. Elle est parvenue à regagner la confiance de ses employés après des années plus difficiles.

Climat: une entreprise manufacturière sur deux ne fait rien encore

Les entreprises peuvent pourtant saisir des occasions d’affaires en se décarbonant, selon Québec Net Positif.