GESTIONNAIRES EN ACTION. Le marché immobilier canadien est 20% à 25% trop cher en ce moment, croit François Rochon, président et gestionnaire de portefeuille chez Giverny Capital.
À son avis, les niveaux actuels rappellent ceux qui prévalaient aux États-Unis en 2005-2006, quelques années avant l'effondrement qui a débouché sur ce qui allait devenir la pire crise financière depuis 1929.
S'il existe toujours de bonnes raisons pour investir dans l'immobilier, les investisseurs devraient toutefois faire preuve d'une grande prudence s'ils veulent spéculer sur une hausse des prix dans le secteur.