Des stagiaires en vedette sur un portail Web

Publié le 04/12/2010 à 00:00, mis à jour le 08/12/2010 à 10:25

Des stagiaires en vedette sur un portail Web

Publié le 04/12/2010 à 00:00, mis à jour le 08/12/2010 à 10:25

" En matière de placement de stagiaires, l'ÉTS vient de passer à la vitesse supérieure comparativement aux autres écoles d'ingénieurs ", affirme Pierre Rivet, directeur du Service de l'enseignement coopératif de l'École de technologie supérieure (ÉTS). L'établissement vient de lancer le portail ePortfolio, un genre de Jobboom à accès restreint permettant de promouvoir les candidatures de ses étudiants auprès des employeurs.

" Si nos étudiants ont de meilleurs stages, ils auront de meilleurs emplois, car la moitié des stagiaires décrochent un emploi. Comme tous les étudiants des écoles d'ingénierie sont bien formés, ePortfolio constitue une façon de se démarquer pour les étudiants de l'ÉTS ", affirme l'ingénieur et titulaire d'un MBA, qui estime qu'ePortfolio deviendra une référence pour trouver des stages étudiants en entreprise.

2 400 stagiaires

L'ÉTS trouve chaque année un stage de 4 à 8 mois à 2 400 étudiants, payés 12 000 $ par période de quatre mois. C'est 30 millions de dollars de revenus annuels pour ses étudiants. " Les stages sont vraiment devenus un must dans les écoles d'ingénierie, explique M. Rivet. C'est un bon revenu pour les étudiants et ça permet de mettre en pratique ce qu'ils apprennent. "

Comme les étudiants sont candidats à plusieurs postes, le service que dirige M. Rivet achemine aux entreprises 30 000 CV chaque année.

À la une

Budget fédéral 2024: l'art de se tirer dans le pied

17/04/2024 | Daniel Dufort

EXPERT INVITÉ. Le gouvernement de Justin Trudeau «s’autopeluredebananise» avec son «budget mémorable».

Gain en capital: pas une surprise

17/04/2024 | Dany Provost

EXPERT INVITÉ. «Combien d’impôt ça va vous coûter de plus?»

L'industrie technologique mécontente des mesures sur les gains en capital

Mis à jour le 17/04/2024 | La Presse Canadienne

L'industrie technologique est mécontente des mesures sur les gains en capital.