10 choses à savoir mercredi

Publié le 02/09/2015 à 07:35

10 choses à savoir mercredi

Publié le 02/09/2015 à 07:35

Le drone de Hexo+, au point 10

En page 2: Top 10 des marques en qui hommes et femmes ont le plus confiance

1-Certaines personnes rêvent de marcher un jour sur la lune. Mais si l’aventure échoue, il est maintenant possible d’y reposer en paix. Une société américaine de services funéraires, Elysium Space, offre la possibilité d’acheter un monument commémoratif lunaire, qui consiste à disperser vos cendres en toute confidentialité sur la lune, raconte CNBC. Il faut être prêt à sortir son portefeuille pour assurer un tel service: 9950$US pour les 50 premiers participants et 11950$US pour les autres. Elysium Space, fondée en 2013, a conclu une entente avec la société Astrobotic Technology pour le transport des cendres. Si tout va comme prévu, cette dernière prévoit transporter les premiers restes lors d’une mission lunaire inaugurale dans la deuxième moitié de 2017. Pourquoi choisir de laisser sa peau sur la lune? Parce que vous avez un lien particulier avec le ciel ou les étoiles, ou pour des raisons poétiques, fait valoir la start-up.

2-Le phénomène est pour le moins curieux, voire inexplicable, mais il connaît un vif succès sur le Web, au point d’inciter les grandes marques à en tirer profit: le «unboxing». Ce sont des vidéos qui montrent des gens retirer des objets de leur emballage. Voilà que Disney a décidé de réaliser une campagne d’unboxing (la première du genre, selon le studio américain) pour lancer la commercialisation des objets Star Wars: le réveil de la force, avant la sortie du film cet automne, écrit Les Echos. La session en direct de déballage se déroulera dans 15 villes autour du monde et s’étalera sur 18 heures. Elle sera diffusée ce jeudi sur la chaîne YouTube de la franchise de George Lucas. Généralement, ces vidéos sont autofilmées par des « déballeurs » amateurs sur un coin de table de cuisine. Disney a pour sa part mis à contribution les talents de Maker Studios, le créateur de chaînes YouTube qu’il a racheté pour 500M$US en 2014, souligne Les Echos.

3-Les Bourses américaines tentent un rebond, au lendemain d'une autre séance houleuse et à la suite de nouvelles secousses sur le marché chinois. Vers 8h20, les indices S&P 500, Dow Jones et Nasdaq gagnent respectivement 0,60%, 0,67% et 0,69%, selon les contrats à terme. Le pétrole poursuit pour sa part son déclin. Le Brent, référence au Québec, cède 1,3% à 48,91$US. Lisez Ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture pour tous les détails.

4-Le modèle d’affaires de Uber est menacé par ses propres chauffeurs. La société californienne qui facilite le transport entre particuliers va en effet faire l’objet d’une action judiciaire en nom collectif (« class-action ») susceptible de remettre en question son modèle économique, écrit Le Monde. Un juge californien a décidé de valider l’initiative au nom des dizaines de milliers de chauffeurs de l’entreprise. Les chauffeurs contestent leur statut de travailleur indépendant, estimant qu’ils sont assimilés à des salariés. Jusqu’à présent, les chauffeurs d’Uber et de ses concurrents, comme Lyft, sont régis par des contrats extrêmement flexibles qui dispensent Uber de leur fournir les avantages qu’offre le statut classique de salarié. La société n’a pas à supporter ni couverture sociale (cotisations chômage, santé), ni congés payés, contrairement aux sociétés de taxis. Une nouvelle offensive que Uber entend contrer: elle fera appel, affirmant que « les conducteurs inscrits sur la plate-forme utilisent Uber comme bon leur semble ».

5-Restons avec Uber. L'entreprise a-t-elle donné lieu à un nouveau terme? Certains médias français utilisent un nouveau verbe associé au modèle d'affaires particulier de la société californienne: «ubériser». Le NouvelObs raconte qu'un entrepreneur veut «ubériser» les avocats. La gratuité d’une justice accessible au plus grand nombre, Frédéric Pelouze, ancien avocat, y croit. Il compte réussir avec sa plateforme Weclaim ce qu’Uber a mis en place dans les transports. Qu'il s'agisse d'un salarié qui attend depuis des années un jugement, un emprunteur mal informé par sa banque, il suffit de remplir un formulaire en ligne sur le site Weclaim et d'attendre les dommages et intérêts, sans rien payer entre-temps. Car, comme le site l’annonce sur sa page d’accueil, «No win, no fee»: si vous ne gagnez pas, vous ne paierez rien.

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