Un nouveau président pour State Street au Canada

Publié le 18/02/2010 à 15:52

Un nouveau président pour State Street au Canada

Publié le 18/02/2010 à 15:52

La division canadienne de State Street Corporation s'est trouvé un nouveau président et chef des placements, en la personne de Peter Lindley.

Il succède à Grégory Chrispin qui, ces dernières semaines, avait été recruté par le Mouvement Desjardins.Il est devenu vice-président, placements, au sein de la première vice-présidence et direction générale Gestion du patrimoine et Assurance de personnes du Mouvement Desjardins. 

M. Lindley possède plus de vingt ans d’expérience sur les marchés obligataires et les produits dérivés. Il a rejoint State Street en 2005, où il a occupé les postes de chef des placements et du revenu fixe, et de gestionnaire de portefeuille senior au sein de l’équipe des produits de revenu fixe.

Avant de rejoindre l'équipe de State Street,il était coresponsable des marchés mondiaux pour Deutsche Bank Canada à Toronto.

En tant que responsable des placements, M. Lindley aura pour mission de collaborer avec les équipes des différentes catégories d’actif afin de favoriser le développement de nouvelles stratégies.

Une prise à Desjardins

State Street a également annoncé l’arrivée de Denis Senécal au poste de chef du revenu fixe et des marchés monétaires pour le Canada. Avant de rejoindre State Street M. Senécal était vice-président du Trésor à la Caisse Centrale Desjardins, où il était responsable de la gestion actif-passif, de la titrisation et de la gestion du risque des taux d’intérêt.

Par ailleurs, Patrice Denis, depuis six ans chez State Street, a été nommé chef de la distribution de State Street pour le Canada. À ce titre, il sera responsable de toutes les activités clients au Canada.

 

À la une

Dette et déficit du fédéral: on respire par le nez!

ANALYSE. Malgré des chiffres relativement élevés, le Canada affiche le meilleur bilan financier des pays du G7.

Budget fédéral 2024: «c'est peut-être un mal pour un bien»

EXPERT INVITÉ. Les nouvelles règles ne changent pas selon moi l'attrait des actions à long terme.

Multiplier la déduction pour gain en capital, c'est possible?

LE COURRIER DE SÉRAFIN. Quelle est l'avantage de cette stratégie?