La mobilité Québec-France a le vent en poupe

Publié le 19/05/2011 à 19:10, mis à jour le 20/05/2011 à 16:53

La mobilité Québec-France a le vent en poupe

Publié le 19/05/2011 à 19:10, mis à jour le 20/05/2011 à 16:53

Bon an mal an au cours des dernières années, quelques 4000 Français avec un statut permanent et 10 000 autres sous une base temporaire viennent travailler au Québec. D’un autre côté, de plus en plus de Québécois envisagent de rouler leur bosse sur le vieux continent.

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Et il ne faut pas s’attendre à ce que la cadence de cette mobilité de la main d’œuvre entre la France et Québec diminue, bien au contraire, selon Nadir Sidhoum, directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration pour le Québec et le Canada.

D’abord, les autorités québécoises, canadiennes et françaises travaillent à faciliter les dispositifs administratifs en termes de travail temporaire.

Puis, l’entente sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles signée entre le Québec et la France, le 17 octobre 2008, passe des bonnes intentions aux actes. Jusqu’ici, les arrangements de reconnaissance mutuelle (ARM) franco-québécois visant à faciliter et à accélérer l’obtention d’une aptitude légale d’exercer une profession ou un métier réglementés sur les deux territoires couvrent 68 professions et métiers. Sur le lot, une quarantaine sont actuellement en vigueur.

Et finalement, l’éventuelle conclusion d’un accord de libre-échange entre le Canada et la France laisse présager des répercussions sur la mobilité transatlantique des travailleurs.

Nadir Sidhoum, directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration pour le Québec et le Canada, nous parle des derniers développements et des perspectives concernant la mobilité de la main d’œuvre entre le Québec et la France.

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