La série de contrats prévoit des travaux relatifs à la réparation des murs de fondation, la restauration de la maçonnerie ainsi que la réparation et le remplacement d’éléments jugés désuets.
«Il s’agit de réparations de la périphérie de béton avec une composante LEED pour le remplacement de verre. C’est un bâtiment qui a plus de 50 ans d’usure. Il n’y a donc pas seulement des bâtiments de plus de 100 ans d’usure comme l’hôtel de ville de Montréal ou la Colline parlementaire à Ottawa qui sont rénovés actuellement, mais également des immeubles plus jeunes, ce qui est très positif pour nous», raconte Paul Sauvé, président de L.M. Sauvé, en entrevue.
Ce contrat serait un apport significatif pour la société montréalaise, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 25 millions de dollars en 2008, lui qui était de 5 millions de dollars un an plus tôt.
«La liste des concurrents est brève, c’est à nous de faire valoir notre parc d’équipements lourds et légers, de même que nos partenaires et fournisseurs ontariens. Nous sommes confiants d’être au nombre des entreprises choisies pour cet important mandat», ajoute M. Sauvé.
L’entreprise qui compte a obtenu au cours des dernières années plusieurs contrats majeurs de réfection, dont ceux relatifs aux immeubles de La Baie à Montréal, Toronto et Vancouver. La société opère actuellement deux chantiers majeurs, soit ceux de l’hôtel de ville de Montréal et de la Colline parlementaire à Ottawa.