GDI gagne en souplesse

Publié le 13/03/2013 à 17:02, mis à jour le 19/03/2013 à 12:04

GDI gagne en souplesse

Publié le 13/03/2013 à 17:02, mis à jour le 19/03/2013 à 12:04

LAURÉAT CLUB PLATINE - Privatisée le 1er janvier 2012, GDI (Groupe Distinction) a profité de sa première année dans son nouveau statut pour accélérer sa croissance.

Elle a fait l’acquisition d’Empire, un compétiteur canadien dans le secteur des services aux immeubles, et d’une autre entreprise établie au Michigan, réalisant ainsi une percée aux États-Unis.  
Ces deux transactions lui ont permis de faire passer ses revenus de 300 millions de dollars à 500 millions.

Rappelons que GDI a été vendue en novembre 2011 à Birch Hill Equity Partners, une société privée d’investissement de Toronto. Claude Bigras a conservé son poste de président et une partie de l’actionnariat.  

« La Bourse n’était plus l’outil de développement financier qu’il nous fallait pour croître, explique-t-il. En étant privée, nous avons les coudées plus franches et nous faisons des économies, car nous avons beaucoup moins de contraintes réglementaires. »

Il donne en exemple le fait que les cadres de l’entreprise américaine acquise par GDI ont gardé une participation minoritaire. « Si on avait été encore publique, ç’aurait été très compliqué. »

En 2013, GDI, qui compte 14 000 employés, veut notamment faire grossir ses services d’entretien de systèmes mécaniques qui représentent actuellement moins de 10 % de ses revenus, l’entretien ménager occupant la part du lion.

À la une

Les scénaristes canadiens disent oui à un mandat de grève

La Writers Guild of Canada représente près de 2500 scénaristes anglophones au pays

Y'as-tu d'la bière icitte?

EXPERT INVITÉ. La bière est une thématique d’investissement extrêmement forte de plusieurs milliards de dollars.

Gain en capital ou être né pour un petit pain

«L’augmentation de la tranche imposable sur le gain en capital imposée par Ottawa et Québec est une mauvaise idée.»