L'international, ça se cultive !

Publié le 01/09/2012 à 00:00, mis à jour le 21/09/2012 à 13:13

L'international, ça se cultive !

Publié le 01/09/2012 à 00:00, mis à jour le 21/09/2012 à 13:13

Les firmes de génie québécoises sont très actives hors des frontières. La mobilité internationale fait donc partie du parcours obligé d'un grand nombre d'ingénieurs d'ici. Une fibre que les étudiants ont tout intérêt à développer dès l'université.

Le Canada est le troisième exportateur de services d'ingénierie dans le monde après les États-Unis et le Royaume-Uni, selon Ingénieurs Canada, et son expertise est reconnue à l'échelle internationale.

Pourtant, contrairement à leurs homologues européens, les étudiants québécois en génie ne sont pas tenus de faire un stage à l'étranger durant leurs études.

« La mondialisation accroît les échanges. Il n'y a pas que les Cascades et les Bombardier de ce monde qui ont besoin de jeunes ingénieurs pouvant se débrouiller à l'étranger ! » estime Dominique Lefebvre, professeur à la Faculté de génie et vice-doyen au développement et à la formation continue de l'Université de Sherbrooke. « Nos étudiants devraient donc songer à faire un stage dans un autre pays ou à tout le moins une session de cours à l'extérieur du Québec. »

Car les stages à l'étranger permettent de développer deux qualités essentielles à l'ingénieur : la débrouillardise et la capacité d'adaptation dans des milieux de travail de plus en plus multiculturels.

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