Valener, la société protectrice des investisseurs


Édition du 14 Mars 2015

Valener, la société protectrice des investisseurs


Édition du 14 Mars 2015

La vie n'est pas facile ces jours-ci pour l'investisseur qui cherche des revenus de placement.

Les taux d'intérêt sont faibles. La tentation, pour ne pas dire l'obligation, est de se réfugier dans des titres de sociétés établies telles que Telus ou BCE, qui offrent des dividendes dont le rendement varie de 3,75 à 4,5 %.

Le risque de ces investissements est que les taux d'intérêt remontent, et que pour maintenir des rendements supérieurs à ceux des obligations garanties, les titres ne reculent. Ainsi, si les taux grimpaient de 1 % et que le marché décidait qu'il maintient le différentiel actuel pour offrir du 5,5 % plutôt que du 4,5 %, le titre de BCE devrait reculer de plus de 16 %.

On ne dit surtout pas que c'est ce qui arrivera. Il peut y avoir de l'anticipation dans l'écart actuel de taux, et le mouvement peut être plus faible. BCE peut aussi être en mesure de créer davantage de valeur sur quelques années, ce qui lui permettra de hausser son dividende (et de protéger la valeur du capital investi aujourd'hui).

Le risque n'en demeure pas moins présent et on doit en tenir compte.

C'est dans ce contexte qu'avec le collègue François Normand, qui suit le secteur de l'énergie, nous sommes allés il y a quelques jours rencontrer le chef de la direction financière de Valener, Pierre Despars.

Un entretien fort intéressant. Particulièrement sous trois aspects : le souci de la direction de protéger l'investisseur, les résultats obtenus dans le passé, et le potentiel qui semble se dessiner.

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